Le débat de la fin en cas de maladies graves et incurables agite l’Assemblée nationale. Une question de société qui montre les limites de la loi Clayes-Léonetti. D’ailleurs, les services de soins palliatifs utilisent des méthodes, comme la sophrologie, qui permettent d’accompagner en douceur la fin de vie de leurs patients.
Fin de vie, le débat est relancé !
Le débat sur la fin de vie est relancé et agite l’Assemblée nationale depuis plusieurs jours. En effet, certains députés pointent du doigt les failles de la loi Clayes-Léonetti, votée en 2016. Celle-ci permet de « proposer à certains patients atteints de maladies graves et incurables un traitement sédatif ». Une législation pas toujours appliquée, notamment, en raison du manque de moyens en soins palliatifs. C’est pourquoi, de plus en plus de malades français, passent les frontières belges ou suisses pour avoir recours à l’euthanasie. Une controverse qui montre l’évolution des mentalités autour d’un sujet aussi sensible. Le débat a quand même le mérite de mettre en lumière l’importance des Unités de Soins Palliatifs (USP) en France. Des services qui mettent en place différents dispositifs pour accompagner les patients atteints de pathologies incurables. D’ailleurs, parmi ces dispositifs, on retrouve régulièrement en soins palliatifs, la sophrologie.
La sophrologie en soins palliatifs
Il est désormais fréquent de croiser des sophrologues ou personnels soignants formés à la sophrologie dans les USP. En parallèle des traitements médicaux, la sophrologie va venir prendre en compte la douleur morale du patient. La méthode, considérée comme un soin support, permet aux malades d’acquérir des outils pour gérer ses douleurs et ses angoisses. D’ailleurs, l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) vous forme à l’accompagnement d’un traitement médical. En effet, lors de votre formation pour devenir sophrologue certifié, nous vous enseignerons l’usage thérapeutique de la méthode. Alors, vous aurez l’opportunité d’apprendre plusieurs protocoles dédiés à l’accompagnement de la maladie. Vous travaillerez également votre sens de l’adaptabilité, nécessaire pour intervenir auprès d’un public fragile. En tant que futur sophrologue, nous vous enseignerons comment adapter les exercices en fonction de l’état (physique et émotionnel) de votre client. Ainsi, fort de votre formation en sophrologie, vous aurez toutes les compétences professionnelles pour intervenir dans les services de soins palliatifs afin d’accompagner les patients en fin de vie.
