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L’intégrité et le professionnalisme sont essentiels dans la pratique de la sophrologie. Toutefois, certains écueils peuvent compromettre la qualité de l’accompagnement offert aux clients. Alors, la formation pour devenir sophrologue de l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) revient sur les erreurs à éviter pour garantir le respect du code de déontologie.

Déontologie du sophrologue, de quoi parle-t-on ?

Exercer comme sophrologue, c’est plonger au cœur d’une profession enrichissante et stimulante. En tant que futur professionnel de la relation d’aide, vous avez sûrement hâte de découvrir votre nouveau métier. Toutefois, avant de pratiquer, il est important de comprendre le cadre d’intervention du sophrologue. Chaque jour, les clients se confient pleinement à lui, lui conférant un rôle délicat. En effet, celui-ci pénètre l’intimité de ceux qui le consultent. Alors, cette proximité est un honneur, doublé d’une lourde responsabilité. D’où l’importance d’adopter une démarche professionnelle intègre, ancrée dans un cadre déontologique strict. Ce cadre précise les principes et les obligations inhérents à la profession. Il garantit une pratique morale et éthique, toujours au service du bien-être et de la sécurité des clients. Ainsi, la formation pour devenir sophrologue de l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) vous sensibilise au code de déontologie et revient sur les erreurs à ne pas faire.

Le code de déontologie, un socle éthique pour toute une profession

À l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS), notre mission est de former des sophrologues ayant une approche éthique et consciencieuse de leur métier. C’est pour cette raison qu’au début de votre formation, nous abordons les fondamentaux de la profession. Nous mettons l’accent sur la posture du sophrologue, en se concentrant sur le code de déontologie, pilier de la profession. Ce code, rédigé par la Chambre Syndicale de la Sophrologie, rassemble 16 articles et est disponible dans la deuxième partie du Manuel de Sophrologie. Il vous éclaire sur les comportements à adopter en séance et les principes fondamentaux à respecter comme l’impartialité et l’intégrité. D’ailleurs, de nombreux sophrologues mettent ce code dans leur cabinet et sur leur site, preuve de leur engagement envers leurs clients. Alors, notre formation de sophrologue insiste sur l’application rigoureuse du code de déontologie et des erreurs qui peuvent en découler.

Code de déontologie, notre formation de sophrologue revient sur les erreurs courantes

L‘adhésion au code de déontologie est fondamentale pour tout sophrologue sérieux. Toutefois, même empreint de bonne volonté certains écarts peuvent être commis. Alors, lorsque votre formateur vous enseignera ce code, il vous donnera des exemples précis d’erreurs à éviter. Par exemple, l’article 2 insiste sur le fait d’éviter toute forme de propagande religieuse. Alors, même si vous êtes de bonne foi, votre décoration de cabinet peut vous trahir. Ainsi, exit les tableaux de Bouddha représentant le bouddhisme. La sophrologie est une discipline laïque et doit le rester, afin de garantir une prise en charge neutre et sans préjugés. De plus, l’article 10 précise qu’il est important de ne pas dénaturer la sophrologie. Vous vous engagez donc, par exemple, à ne pas intégrer de musique ou d’exercices de yoga durant une séance. La sophrologie requiert un cadre précis et des techniques spécifiques pour garantir son efficacité. Enfin, l’article 6 souligne que le sophrologue doit actualiser régulièrement ses connaissances afin de répondre aux exigences de ses clients. Le thérapeute ne doit donc pas se reposer sur ses acquis. Ainsi, grâce à votre formation de sophrologue et à l’apprentissage du code de déontologie, vous ne reproduirez pas toutes erreurs en cabinet.

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