Rien ne me prédestinait à m’orienter vers la Sophrologie ! À plus de 50 ans, et après une carrière de professeur, j’avoue que j’ai poussé la porte de l’institut juste par curiosité. Six mois se sont écoulés et me voilà Sophrologue, et si j’ai des regrets, c’est seulement de ne plus retrouver la convivialité du groupe avec lequel j’ai travaillé, la disponibilité et le professionnalisme de ses formateurs. Que de bons souvenirs. Merci à Catherine, sans oublier Sébastien, l’homme de l’ombre mais néanmoins enthousiaste !