La reconversion professionnelle est un sujet qui concerne une majorité d’actifs. Parmi eux, nombreux se tournent vers la formation professionnelle pour l’effectuer. Alors, voyons ensemble quelles sont les profils de nos stagiaires et leurs motivations pour suivre notre formation pour devenir sophrologue.
Reconversion = formation ?
La reconversion professionnelle est devenue « monnaie courante » en France. En effet, elle concerne désormais une grande majorité des actifs. D’ailleurs, d’après le site Internet HelloWorkPlace, 9 Français sur 10 ont envie de changer de métier. De plus, la crise sanitaire du Covid-19 n’a fait qu’accélérer ce phénomène. Alors, pour sauter le pas, les actifs passent par la case formation professionnelle. Ce qui explique le franc succès du Compte Personnel de Formation (CPF), qui a largement favorisé l’accès à la formation pour adultes. En 2020, ce sont près de 984 000 formations qui ont été financées grâce à ce dispositif. Par ailleurs, cette envie de changer d’horizon professionnel est partagée par tous. Salariés du public, du privé, demandeurs d’emploi, la formation attire de plus en plus, tout comme le statut d’indépendant. Une tendance qui se confirme, puisqu’ils sont nombreux à se tourner vers des formations pour devenir sophrologue.
Reconversion au métier de sophrologue, les avantages
Le métier de sophrologue attire de plus en plus. La méthode ayant fait ses preuves depuis 1960, la profession est actuellement en plein essor. L’appétence des Français pour le bien-être et l’entrepreneuriat est une réalité. De plus, le métier de sophrologue cumule divers avantages. Tout d’abord, cette activité est particulièrement flexible. Elle peut être exercée à temps partiel, libre au sophrologue de pratiquer les jours qui lui conviennent. Ensuite, cette profession peut également être exercée en complément d’une activité principale ou comme « outil » dans le cadre de sa profession. Enfin, la casquette d’indépendant du sophrologue lui confère une certaine liberté dans la gestion de son emploi du temps. Alors, qu’il pratique à temps plein ou partiel, c’est à lui de fixer ses horaires de travail. Cependant, avant de se lancer dans cette nouvelle aventure, la formation professionnelle pour devenir sophrologue est une étape clé et revenir au statut de stagiaire, un passage incontournable.
Les stagiaires de notre formation pour devenir sophrologue
L’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) rencontre des profils de stagiaire tout à fait différents. Ces derniers viennent de milieux professionnels extrêmement variés. Car nous n’exigeons pas de prérequis particuliers au niveau des diplômes. En effet, notre programme pédagogique est conçu pour permettre aux personnes qui le souhaitent d’acquérir l’ensemble des compétences professionnelles nécessaires à l’exercice du métier. D’après les dernières enquêtes de la Chambre Syndicale de la Sophrologie, une grande majorité des sophrologues ont entre 50 et 59 ans. L’âge moyen des sophrologues est de 47 ans. Cette diversité fait alors la richesse de votre session. En revanche, il existe bien des points communs entre nos stagiaires. La majorité réalise une reconversion après avoir arpenté le monde de l’entreprise durant plusieurs années. Le métier de sophrologue s’adresse donc à un public aguerri en termes d’expériences professionnelles. De plus, les raisons évoquées sont souvent les mêmes. C’est-à-dire, la volonté de renouer avec leurs propres valeurs, de retrouver du sens au travail ou encore de retrouver un équilibre vie professionnelle/vie privée. Ainsi, si chaque futur sophrologue est unique, nos stagiaires aspirent tous à devenir des professionnels de la relation d’aide capables d’accompagner autrui.