
Même si les professionnels de la santé sont mieux formés, il semble que ce plan n’ait pas pris en compte le développement des techniques non médicamenteuses et les patients les plus fragiles.
Malgré cela, certaines structures, dont la douleur est la préoccupation première, encouragent les pratiques alternatives et innovantes.
C’est le cas de la Fondation APICIL (Association de Prévoyance Interprofessionnelle des Cadres et Ingénieurs de la région Lyonnaise) qui met en place et finance quantités de projets visant à traiter la douleur, notamment des formations à la sophrologie et à la relaxation.
Source : lyon.france-webzine.com


