Le coup d’envoi des soldes d’hiver est lancé ! La tentation est dans toutes les vitrines, tout comme les bonnes affaires. Toutefois, certaines personnes sont plus susceptibles d’y céder. Ainsi, la sophrologie aide les personnes à se raisonner face à leurs achats compulsifs.
Achats plaisirs ou compulsifs ?
Le 12 janvier dernier, les soldes d’hiver ont commencé. Difficile alors de ne pas céder à la tentation de refaire sa garde de robe. Pour certaines personnes, ces périodes de soldes sont d’ailleurs un moment délicat. En revanche, il faut tout de même faire le distinguo entre achats irraisonnés et compulsifs. Les oniomanes, eux, sont soumis à une envie irrésistible de consommer. L’acte d’achat est souvent accompagné de divers sentiments (puissance, culpabilité, joie, déception, etc.) et lié à un phénomène de stress. D’après l’Institut Fédératif des Addictions Comportementales (IFAC), 3.4 % à 6.9 % de la population européenne est diagnostiquée « acheteurs compulsifs ». Le pourcentage grimpe jusqu’à 11.5 % chez les adolescents. La prise en charge proposée par les services d’addictologie est à la fois médicale, psychothérapeutique et sociale. Ainsi, la sophrologie vient en complément de ces prises en charge auprès de personnes soumises aux achats compulsifs.
La sophrologie pour maitriser ses achats compulsifs
Qu’il s’agisse simplement de maitriser une envie de « craquage » ou que l’envie relève de la pathologie, la sophrologie est une méthode qui a fait ses preuves. La sophrologie va permettre de gérer le flux d’émotions et notamment le stress qui pousse à l’achat compulsif. Durant la formation initiale de l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS), vous aurez d’ailleurs l’opportunité de vous former à l’accompagnement de comportements pathologiques. En devenant sophrologue certifié, vous serez formé tant à l’amélioration du quotidien qu’au suivi de personnes addictes. Votre accompagnement permettra à vos clients de savoir gérer les facteurs de leur pathologie (stress, fatigue). Effectivement, en se visualisant serein, sans achat lors d’une session shopping, ils pourront ensuite reproduire cet état. En effet, grâce aux exercices recommandés, ils se reconnecteront à leurs émotions et leur corps, pour enfin détecter les moments « à risque ».
