L’examen du titre RNCP de sophrologue est pour nos stagiaires un passage très important. Il est effectivement synonyme d’aboutissement et signe la fin de leur formation. Alors, afin qu’ils soient en confiance et donnent le meilleur, le jour de l’examen du titre RNCP de sophrologue, les jurés sont soigneusement préparés et sélectionnés.
Examen de fin de formation, une échéance importante
À l’issue de leur formation, les stagiaires de l’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) ont l’opportunité de passer l’examen du titre RNCP de sophrologue. Une certification professionnelle qui est, à ce jour, la seule distinction officielle du métier. Alors, tout au long de votre formation, vous acquerrez des connaissances et des compétences professionnelles qui respectent le référentiel métier. Vous serez donc parfaitement préparé aux épreuves qui vous attendent. L’examen est constitué de trois épreuves qui sont ; l’animation d’un exercice, l’animation d’un questionnaire d’anamnèse et l’explication de votre exposé professionnel. Des épreuves qui se déroulent avec un seul juré à chaque fois. D’ailleurs, le jury porte toujours un regard professionnel et bienveillant sur les candidats. Pour que vous donniez le meilleur de vous, il vous mettra évidemment à l’aise. Enfin, sachez que la sélection des jurés de l’examen du titre RNCP de sophrologue fait l’objet d’une étude rigoureuse.
Les jurés de l’examen du titre RNCP de sophrologue triés sur le volet
L’Institut de Formation à la Sophrologie (IFS) veille à ce que les jurés de l’examen du titre RNCP de sophrologue soient des professionnels formés à l’exercice. C’est pourquoi, ce sont des formateurs de l’IFS ayant décroché leur titre RNCP. Le jury est constitué d’un président, membre de l’Institut et de trois jurés. De plus, ces derniers doivent remplir certaines conditions pour être éligibles. Des conditions attestant qu’ils sont compétents pour évaluer chaque épreuve. Par ailleurs, être formateur et être juré est bien différent. Alors, l’examinateur devra passer un test et étudier plusieurs documents comme le code déontologique du juré, qui précise l’attitude à conserver en examen. Le parfait équilibre entre bienveillance et professionnalisme. Dans un souci d’impartialité, le jury n’a pas connaissance des candidats du jour. Par ailleurs, le président cadre l’ensemble des jurés pour qu’ils gardent en tête les objectifs de cette journée. Enfin, la décision est prise de manière collégiale et toujours en s’appuyant factuellement sur le référentiel métier. Ainsi, l’IFS met tout en place pour faire de cette journée, votre réussite !
